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Semaine de la vérité et de la réconciliation 2023 – Profils des orateurs

L’aînée Betty Ross

L’aînée Betty Ross a survécu à deux systèmes de pensionnats. Elle allait à St. Joseph’s Residential School à Pimicikamak Cree Nation, sa nation, à un très jeune âge, où elle a subi un traumatisme atroce après l’autre, décrit dans son histoire ” Sugar Falls “. Elle est également boursière de jour. 

L’aînée Betty partage avec humilié sa vérité qui capture l’essence de son holocauste personnel vers la transformation, l’acceptation et l’éducation des pensionnats et apporte l’amour et la paix aux personnes qui peuvent partager une histoire similaire.

En substance, aujourd’hui L’aînée Betty Ross marche et parle avec sa voix et sa fierté indigènes en partageant une vérité vérifiable qui est la toute première condition préalable à la réconciliation parce que la vérité résistera toujours à un examen minutieux, en particulier le déni des traumatismes historiques qui remontent a des temps immémoriaux.

a survécu à deux systèmes de pensionnats. Elle allait à St. Joseph’s Residential School à Pimicikamak Cree Nation, sa nation, à un très jeune âge, où elle a subi un traumatisme atroce après l’autre, décrit dans son histoire ” Sugar Falls “. Elle est également boursière de jour. 

L’aînée Betty partage avec humilié sa vérité qui capture l’essence de son holocauste personnel vers la transformation, l’acceptation et l’éducation des pensionnats et apporte l’amour et la paix aux personnes qui peuvent partager une histoire similaire.

En substance, aujourd’hui L’aînée Betty Ross marche et parle avec sa voix et sa fierté indigènes en partageant une vérité vérifiable qui est la toute première condition préalable à la réconciliation parce que la vérité résistera toujours à un examen minutieux, en particulier le déni des traumatismes historiques qui remontent a des temps immémoriaux.

Laurie McDonald

 RESIDENTIAL SCHOOL SURVIVOR AND TWO-SPIRIT ADVISOR  

Kehteyayak- Laurie McDonald, ehiyawok de la nation crie Enoch à Maskekosiht (Alberta), a passé six ans au pensionnat Ermineskin à Maskwacis (Alberta). La carrière de M. McDonald s’étend sur toute une vie dans le domaine d l’éducation et des services sociaux.

Ces dernières années, par le Cercle des survivants des pensionnats indiennes, il a maintenu son engagement à veiller à ce que le grand public prenne conscience que l’expérience et le traumatisme quil a subis au pensionnat en tant que personne bispirituelle n’étaient pas seulement uniques, mais, selon toute vraisemblance, plus profonds.
Laurie poursuit son parcours de bien-être avec le soutien de sa nation, de sa famille, de de la communauté internationale bispirituelle.

Lila Bruyere

Boozhoo !

 Je m’appelle Lila Bruyere. Je viens de la Première nation de Couchiching, située sur le territoire du traité no 3. Mon nom spirituel est Dancing Eagle Woman, je fais partie du clan de l’ours, je suis porteuse de pipe et je suis une danseuse de jingle dress retraité. Je suis mère, grand-mère et arrière-grand-mère. Je suis aussi une sœur, une tante, une cousine et une éducatrice. 

Je suis une survivante de deuxième génération du pensionnat de St. Margaret à Fort Frances, en Ontario

Mon fils et moi avons fréquenté l’Université Wilfrid Laurier et nous avons mis au point un atelier intitulé “Intergénérationnel : Le voyage de guérison d’une mère et d’un fils

J’ai récemment passé un mandat de trois ans à être membre du Cercle des survivants du Centre national pour la vérité et la réconciliation (CNVR).

Mon objectif est de continuer à être la voix pour ceux qui restent silencieux.

Miigwetch !




Alanis Obomsawin 

Membre de la nation abénaquise, Alanis Obomsawin est l’une des plus éminentes documentaristes du Canada. Cinéaste et productrice à l’Office national du film, elle y poursuit son œuvre depuis 1967. Ses prochains films Wabano: The Light of the Day et The Green Horse (titre de travail), seront respectivement le 56e et le 57e d’une illustre carrière de maintenant 56 ans, tout entière consacrée à relater la vie et les préoccupations des peuples des Premières Nations et à examiner des enjeux importants pour tous et toutes. Bill Reid se souvient, paru en 2022, a figuré sur la liste des courts métrages du Canada’s Top Ten, qui rend hommage aux meilleurs films canadiens.

Carey Newman (BC) 

Carey Newman, dont le nom traditionnel est Hayalthkin’geme, est un artiste multidisciplinaire, sculpteur, cinéaste, auteur et conférencier.

Par son père, il est Kwakwa̱ka̱’wakw des clans Kukwaḵ̓a̱m, Gix̱sa̱m et Wawałaba’yi du nord de l’île de Vancouver, et Salish de la côte de Xwchíyò:m (Cheam) des Stó:lō S’olh Temexw (territoires traditionnels) le long de la vallée supérieure du Fraser. Du côté de sa mère, ses ancêtres sont des colons anglais, irlandais et écossais. Dans sa pratique artistique, il s’efforce de souligner les questions autochtones, sociales et environnementales en examinant les impacts du colonialisme et du capitalisme, en exploitant le pouvoir de la vérité matérielle pour déterrer la mémoire et déclencher l’émotion nécessaire pour conduire un changement positif.

Adelyn Newman

Adelyn Newman-Ting pronouns she/her is 13 years old from Victoria BC. She lives with her parents and her dog Oscar. Her traditional name is Kesugilakw which means leader born to be, and her Chinese name is Ting Li-Wen. On her mother’s side she is Chinese from Taiwan and on her father’s side she is Kwakwaka’wakw, Coast Salish and English, Irish and Scottish. Addy is passionate about youth voices being heard as it will be their responsibility to make the world a better place. When she was 12 she did a TEDxtalk with her father Carey Newman and wrote a book called Finding the Language as a UNESCO child author. She is very excited to begin her first year as a member of the Youth Advisory Council for Children First Canada.

Christa Big Canoe

Christa Big Canoe est une femme autochtone, une mère, et une avocate. Elle vient de la Première nation de Georgina Island, une communauté anishinabek.
Christa a été greffière adjointe et juge de paix administratif dans et pour les Territoires du Nord-Ouest. Sa première expérience juridique était avec le cabinet d’avocats des Premières nations Nahwegahbow, Corbiere à Rama. Christa a été conseillère politique pour Aide juridique Ontario (AJO) et a dirigé la stratégie de justice autochtone de l’organisation surtout le province avant de devenir directrice juridique de Aboriginal Legal Services (ALS) Christa a repris son poste à l’ALS après un conge de deux ans et demi afin de devenir conseillère principale de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assignées.

Edna Elias

Je suis Edna Ekhivalak Elias, une survivante des pensionnats. Une survivante de la troisième génération. Je suis une Inuinnaq de Kugluktuk, au Nunavut, la communauté la plus à l’ouest du Nunavut. J’aime ma langue l’inuinnaqtun; un dialecte de la famille des langues inuites. Elle est devenue très importante pour moi à la suite des deux expériences que je m’apprête à partager avec vous.

Avant d’aller au pensionnat, j’ai beaucoup vécu avec mes grands-parents sur la terre. Je parlais principalement l’inuinnaqtun. J’avais 7 ans quand ils m’ont emmenée de chez mes grands-parents au pensionnant en avion.

Malgré les expériences vécues au pensionnat, j’ai pu constater que ma langue était précieuse. Je devais la conserver et ne pas la perdre. C’est ainsi qu’aujourd’hui, je parle couramment l’inuktitut. Je sais lire et écrire l’inuinnaqtun. Et je continue à apprendre ma langue.

Dickie SR Yuzicapi HOKSHEDA

Francis vient d’un héritage culturel diversifie qui représente la majorité des cultures des plaines que l’on trouve encore aujourd’hui en Saskatchewan : Ojibway, Cri, Métis et Dakota. Dickie est unique en ce sens qui’l a été élevé par ses arrières-grands-parents qui lui ont transmis des enseignements traditionnels avant d’aller au pensionnat. Dickie est un survivant et un survivant de traumatismes sur plusieurs générations. Il allait au pensionnat de 1988 à 1993. Dickie est actuellement propriétaire et chef de la Sioux Chef Catering Company et consulte sur toutes les facettes de la culture autochtone. Il est un maitre conteur et un orateur expérimente qui peut présenter son propre contexte ancestral et ses liens historiques de manière à concrétiser les recommandations du programme vérité et réconciliation. Ses ateliers sont animés avec une grande attention aux histoires de sa famille et au niveau de réconciliation de tous les participants. En créant une compréhension en prenant soin de poser les bases de ce qui doit être faire pour guérir.



Crystal Fraser

Dr. Crystal Gail Fraser (elle) est Gwichyà Gwich’in (avec l’heritage Anglaise et Ecossaise) de Inuvik et Dachan Choo Gę̀hnjik, des Territoires du Nord-Ouest. Dr. Fraser est un professeure assistante d’histoire et des études autochtones à l’Université d’Alberta. Sa recherche primée se focaliser sur l’histoire des expériences étudiantes aux pensionnats indiens dans la région Inuvik. Dr. Fraser sert sur les comités nationaux et internationaux : elle est un membre du Cercle de gouvernance du CNVR, une directrice pour le conseil international Gwich’in, et elle est membre fondatrice du Comité consultatif national sur les enfants disparus et les sépultures anonymes des pensionnats en 2022. 

Cary Miller

Une survivante de la rafle des années soixante, Dr. Mille est Anishinaabe et descendre des communautés St. Croix et lac Sangsue de Wisconsin et Minnesota. Sa livre Ogimag : Anishinaabeg leadership 1760-1845 a été publié par l’University of Nebraska Press en 2010 et elle est l’une des rédactrices de la dernière edition du manuel Indigenous Peoples within Canada d’Oxford Press (2023). Ses recherches portent sur le leadership des Anishinaabe au début du XIXe siècle, l’histoire des femmes Anishinaabe, les traités et la souveraineté, l’histoire des Indiens du Wisconsin, et les cultures de la région des Grands Lacs. Elle s’intéresse particulièrement aux histoires autochtones transfrontalières de L’Amérique du Nord des 18e et 19e siècles, qui se concentrer sur les récits de l’utilisation souveraine des terres autochtones, de la parenté, et de la diplomatie.  



Jesse Wente 

Jesse Wente est un mari et père, ainsi qu’un écrivain et conférencier primé. Nés et élevées à Toronto, sa famille vient de Chicago et Genaabaajing Anishinaabek et il est un membre hors réserve d la Première nation de Serpent River. Jesse est plus connu pour plus de deux décennies passé comme un chroniqueur à l’émission Metro Morning de CBC Radio. En 2018, Jesse a été nommé directeur fondateur de l’Indigenous Screen Office et pendant l’été 2020, il a été nommé président du Conseil des Arts du Canada. Jesse a reçu le prox Arbor de l’Univrsité de Toronto en 2021 pour ses contributions bénévoles et a récemment été nommé Senior Fellow du Massey College. Son premier livre “Unreconciled: Family, Truth, and Indigenous Resistance” est un bestseller national et a été choisi comme l’un des meilleurs livres de 2021 par Chapters-Indigo, Apple VBooks, et The Globe and Mail.  

Cynthia Wesley-Esquimaux

Dr. Cynthia Wesley-Esquimaux a été nommée première chaire autochtone pour la vérité et la réconciliation à l’université Lakehead en 2016.  
 
Cynthia a été intronisée témoin honoraire par la Commission de vérité et de réconciliation du Canada en 2014 et préside le Cercle de gouvernance pour le Centre national pour la vérité et la réconciliation à l’université de Manitoba.  

Elle est un membre et résidente de la Première nation des Chippewas de Georgina Island et elle a consacré sa vie à la construction des ponts de compréhension. Elle voit le mérite infini dans la réunion des personnes de cultures, d’âges, et de milieux différents pour engager un dialogue pratique et des initiatives de recherche appliquée.



Sarah Bender 

Sandra Bender est une défenseuse des droits de l’homme de longue date et met sa passion pour l’éducation publique au service de son travail. En tant que Canadienne de deuxième génération dont les grands-parents sont arrivés dans cette terre en tant qu’immigres et refugies, elle est une alliée autochtone convaincue et s’efforce d’utiliser sa position privilégiée pour favoriser la compréhension et la réconciliation par le programme de proximité et de l’éducation. Sandra est membre fière de la communauté 2SLGBTQIA+, féministe, et neurodivergente, et elle croit qu’il est important d’adopter une perspective intersectionnelle dans tous les aspects de sa vie. Dans son travail passé, elle a défendu les revendications territoriales des autochtones, travaillée avec les communautés non logées de Winnipeg et d’Atlanta, travaille avec les refugies nouvellement arrives et participe à des projets avec la communauté local 2SLGBTQIA+. 



Jimmy Durocher

Jimmy Durocher a été élevé par sa grand-mère métisse, quil a considère comme un modelé de force et de résilience. Il allait au pensionnat d’Île-à-la-Crosse, dans le nord de la Saskatchewan, et es actuellement président du Comité des pensionnats d’Île-à-la-Crosse. Il est un vétéran de l’Aviation royale du Canada, membre du conseil d’administration de l’institut Gabriel Dumont et ancien président de la Nation métisse de la Saskatchewan. Parlant couramment le michif et le cri, Jimmy est actuellement président des métis locaux à Île-à-la-Crosse.



Dale LeClair 

Dal LeClair a été convenu du rôle directeur, affaires autochtones et du Nord Canada à Postes Canada en décembre 2018. Dans ce rôle, Dale est responsable pour les Services de Gouvernement et de Communauté pour le région Nord et avec les communautés autochtones surtout le pays. Il joue un rôle de premier plan dans les processus de planification et de stratégie de l’entreprise en représentant les questions autochtones et en identifiant les principaux thèmes et opportunités dans les futurs plans d’affaires. En outre, Dale collabore avec les ressources humaines pour élaborer des stratégies et des programmes de recrutement, de sélection, de maintien en poste et de développement des employés autochtones afin d’améliorer la diversité de la main d’œuvre de Postes Canada. Dale s’est joint à Postes Canada avec plus de 20 ans d’expérience en gestion exécutive au sein d’entreprises publiques et privées.



Tracie Léost

Tracie Léost, lauréate Indspire Youth et jeune leader, activiste et athlète métisse primée, originaire de Saint Laurent, au Manitoba, dans le territoire du Traité 1. Tracie assume ses responsabilités de matriarche émergente en servant son peuple et en veillant à ce que tous les jeunes autochtones aient la possibilité de grandir et de s’épanouir. Elle est la fondatrice du mouvement d’autonomisation des jeunes Waanishka et a récemment occupée le poste de déléguée de la jeunesse métisse au sein de la délégation canadienne à l’Instance permanente des Nations unies sur les questions autochtones.



Brenda Gunn

Fière Métisse et professeure de droit à l’Université du Manitoba, Brenda Gunn combine la recherche universitaire à l’activisme afin de prôner une plus grande reconnaissance des droits inhérents des peuples autochtones, tels que déterminés par leurs traditions juridiques. Après l’obtention d’un baccalauréat en droit de l’Université de Toronto et d’une maîtrise en droit (politiques et droits des peuples autochtones) de l’Université de l’Arizona, Brenda a travaillé dans un service juridique communautaire au Guatemala sur une affaire de génocide soumise à la Commission interaméricaine des droits de l’homme. Elle a aussi travaillé avec les Premières Nations du Manitoba sur des enjeux liés aux droits des autochtones et aux droits conférés par traités. Brenda continue de participer activement au mouvement international des peuples autochtones. Elle a rédigé un guide devenu l’une des ressources de choix au Canada pour comprendre la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (undrip_handbook) et a présenté des ateliers sur cette déclaration, au Canada et sur la scène internationale. Elle a aussi fourni du soutien technique pour le Mécanisme d’experts sur les droits des peuples autochtones. En 2013, Brenda a participé à une formation de l’ONU en vue d’améliorer les capacités des représentants des peuples autochtones à prévenir les conflits et à rétablir la paix, formation qui continue d’avoir un impact sur ses recherches. Elle souhaite que ses recherches contribuent à bâtir un monde plus juste pour sa fille, ses nièces et toutes les personnes avec lesquelles elles sont en relation.



Maata Evaluardjuk-Palmer

Maata Evaluardjuk-Palmer fait partie de la dernière génération d’Aînés étant nés et ayant grandi sur les terres traditionnelles des Inuits. Durant sa jeunesse, Maata a vécu dans un environnement naturel avec sa famille avant le déplacement à la baie Frobisher au Nunavut par le gouvernement du Canada. Ce déplacement a provoqué un choc culturel, car de nombreuses familles ont perdu leur mode de vie traditionnel et ont été réinstallées dans une communauté sédentaire ayant un style de vie à la canadienne. Enfant, Maata a fréquenté l’externat fédéral d’Apex, de 1960 à 1967. Elle est ensuite entrée au Churchill Vocational Centre de 1967 à 1968, puis a étudié au Keewatin Community College for Office Management.

Maata a été membre de plusieurs conseils d’administration : YMCA, Programme de formation de sages-femmes, Manitoba Inuit Association, comité de recherche sur la santé des Inuits et Cercle des survivants du Centre national pour la vérité et la réconciliation. Maata est une grand-mère et une arrière-grand-mère qui aime participer à des événements communautaires et à des programmes éducatifs chaque fois qu’elle le peut.



Armand MacKenzie

Vice-Président aux Affaires Gouvernementales chez la minière Sayona, Armand MacKenzie a pratiqué le droit pendant 15 ans et a été conseiller juridique principal sur les droits territoriaux pour la Nation Innu.

Pour le compte d’organisations nationales autochtones, il a été conseiller spécial/négociateur dans la rédaction et l’adoption de la Déclaration de l’Assemblée générale des Nations unies sur les droits des peuples autochtones de même que pour la Déclaration interaméricaine sur les droits des peuples autochtones.

Dans le domaine onusien, il est considéré par ses pairs comme un expert dans les relations entre les industries extractives et les peuples autochtones. Il a négocié de nombreux accords sur les répercussions et les avantages pour plusieurs compagnies minières ou communautés autochtones. Depuis les 15 dernières années, Armand MacKenzie, est actif comme cadre, consultant et dirigeant dans le secteur minier, dont notamment avec Dynacor, New Millenium Iron Corp, Tata Steel, Nouveau Nouveau Monde Graphite et First Phosphate.

Finalement, à titre d’homme d’affaires, il est le premier autochtone à siéger sur le Conseil d’Administration de l’organisation new-yorkaise, Canadian-American Business Relations Council.

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Le nom spirituel du CNVR, Bezhig miigwan, signifie « une plume ».

Bezhig miigwan nous invite à considérer chaque survivant qui se présente au CNVR comme une plume d’aigle, et à lui montrer le même respect et la même attention que s’il était une plume d’aigle. Ce nom signifie également que nous sommes tous ensemble – nous sommes unis et connectés, et il est vital de travailler ensemble pour parvenir à la réconciliation.